“Métissages Urbains accueille des artistes en résidence dans notre espace commun : la rue. Les œuvres co-créées avec les passants créent un lieu d’échanges et de rencontres improbables entre tous les citoyens. Chaque projet stimule notre créativité, nous invite à apprendre et à confronter nos idées!”
Rendez-vous au parterre du Quartier des spectacles les 17 et 18 septembre et découvrez le champ de 1000 roses initié par Alexandra Pastena et confectionné en refuges, dans la rue, en centre d’accueil, en espace de coworking, dans les cafés… Une véritable ovation à la féminité et un hommage aux femmes autochtones disparues.
Les autres artistes et projets de la 2ème saison de Métissages Urbains :
Guillaume Vermette avec Le chemin le plus court, comme le disait Chaplin en parlant du rire. L‘artiste, clown dans la vie, va inviter les citoyens à partager un fou rire. Le tout filmé, sera diffusé style vidéo virale sur les internets.
Patsy Van Roost avec Hommage sur trottoir. Un projet poétique qui permet aux citoyens partageant le même quartier de se rendre hommage mutuellement et individuellement. À l’aide de pochoirs, d’une bombe à la craie et de quelques mots doux, la tendresse sera ainsi cultivée sur les trottoirs de l’arrondissement dans lequel on regarde davantage ses pieds que ses voisins.
Un aperçu des programmes des saisons précédentes:
PORTRAITS DE RUE (Novembre 2015)
Résidence artistique entre la talentueuse artiste illustratrice française Lili Sohn, et les citoyens de Ville-Marie incluant ceux vivant dans la rue, en refuges et centre de jour, Portraits de Rue se veut une collaboration créative et inclusive entre tous les citoyens qui donnera lieu à des planches et dessins à l’effigie des rencontres créées au fil des rues, mais surtout un aperçu de tranches de vie que l’on écoute pas suffisamment, des histoires et des identités en images qui changeront peut-être un peu notre regard sur ceux que l’on ignore trop souvent.
“Même qu’on se dit souvent qu’on aura une maison, avec des tas de fenêtres, avec presque pas de murs, et qu’on vivra dedans, et qu’il fera bon y être, et que si c’est pas sûr, c’est quand même peut-être” chantait Jacques Brel. Chez soi idéal, c’est un peu ça. Imaginé par deux architectes professionnelles, Suzanne Doucet et Colleen Lashuk, c’est avant tout l’idée selon laquelle chacun a le droit de laisser voguer son imaginaire et de rêver à sa maison, à son tipi, à son igloo, à son refuge… Les idées et dessins de son “home” parfait sont ensuite transformés en maquette par les participants.”
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Source : Texte et credit photo: Exeko
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