As we were researching Francophone community arts in Nova Scotia recently, we googled upon a report written by Rachel Gauvin and Marc Haentjens, in 2001 for the Canada Council for the Arts and the Department of Canadian Heritage: Visual Arts in Minority Francophone Communities. We found that it provided us with an overall background about Francophone artists’ access to resources across Canada, including galleries, artist run centres, support, training and education. Issues and topics that are addressed include: artistic communities, access to public funding, access to exhibition space, opportunities to gather, opportunities for marketing, visibility and representation. We kept coming back to the report, though it’s a few years old, as it is rich with sources, ideas, research and information that is still relevant, so we thought we’d share it here: Visual Arts in Minority Francophone Communities
“ The study had several objectives: to provide a description of Francophone artists in minority Francophone communities, to document the conditions in which they practice their art, while drawing some comparisons with majority communities (in Quebec and English-speaking Canada), and to draw some conclusions from these observations about the needs of Francophone artists in minority Francophone communities and the approaches that could be devised to meet them.” ( p.1)
Récemment, durant notre recherche pour des groupes d’arts communautaire francophones en Nouvelle-Écosse, nous avions trouvé un rapport intitulé Visual Arts in Minority Francophone Communities, écrit en 2001 par Rachel Gauvin et Marc Haentjens pour le Conseil des arts du Canada et le Ministère du patrimoine canadien. Nous avons trouvé qu’il nous fournit un contexte général sur l’accès aux ressources disponibles pour les artistes francophones à travers le Canada, par exemple, l’accès au support, à la formation et à l’éducation. Les sujets et les problèmes addressés comprennent: les communautés artistiques, les galeries d’art, les centres d’artistes autogérés, ainsi que l’accès aux fonds publiques, l’accès aux lieux d’exposition d’art, les possibilités de se rassembler, de faire du marketing, d’accroître la visibilité du groupe, et de se représenter. Nous continuons de consulter le rapport même s’il a été écrit il y a quelques années, puisqu’il est riche en sources, en idées, en recherche, et en informations qui sont encore pertinentes. Le texte n’est pas traduit, mais le lien au document anglais se trouve ici: Visual Arts in Minority Francophone Communities.
“Les objectifs de l’étude étaient nombreuses: de fournir une description des artistes francophones dans les communautés francophones défavorisées, de documenter leurs conditions de travail, et cependant, de les comparer avec les communautés favorisées (au Québec et dans le secteur anglophone du Canada), et d’en tirer des conclusions sur ces observations sur les besoins de artistes francophones dans les communautés francophones défavorisées et les approches qui doivent être formulées afin de les atteindre.” (p.1)